Conseils voyage pour malades ou handicapés - Flightright FR

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Voyager en avion avec une maladie ou un handicap

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Voyager en avion avec une maladie ou un handicap
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L’essentiel sur le thème « Voyager en avion avec une maladie ou un handicap ».

  • Dans l’UE, les compagnies aériennes doivent fournir une assistance gratuite aux personnes handicapées afin de leur permettre un accès égal aux vols.
  • Les passagers handicapés peuvent bénéficier d’une aide avant le vol, comme des fauteuils roulants et un accompagnement dans les aéroports.
  • Les appareils médicaux peuvent être emportés gratuitement, parfois un certificat médical est nécessaire.
  • Pour les malvoyants, des règles spéciales s’appliquent pour le transport de chiens d’assistance, une déclaration auprès de la compagnie aérienne est nécessaire.
  • Des comptoirs d’enregistrement accessibles à l’aéroport, disposant de suffisamment d’espace et d’un personnel formé, facilitent l’enregistrement.
  • Le transport de fauteuils roulants doit être signalé à l’avance et des règles particulières s’appliquent aux accumulateurs.
  • Les médicaments sur ordonnance et en vente libre peuvent être transportés dans les bagages à main dans leur emballage d’origine.
  • Une bonne planification et une bonne communication avec la compagnie aérienne sont importantes pour un voyage sans obstacles.
  • En cas d’infections aiguës ou de saignements incontrôlables, il est préférable de ne pas prendre l’avion et de demander un avis médical.


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Voler est une activité fascinante et, pour beaucoup, une expérience inoubliable, surtout la première fois. L’excitation et un peu de nervosité en font souvent partie. L’ennui est rarement au rendez-vous, sauf si le vol s’éternise.

Pour les personnes handicapées, à mobilité réduite ou souffrant de maladies chroniques, l’expérience de vol peut toutefois revêtir une toute autre qualité. Il est important d’accorder une attention particulière à ces groupes de personnes afin de s’assurer qu’ils puissent eux aussi profiter pleinement de leur droit à la mobilité et au voyage.

Les compagnies aériennes (dans l’Union européenne) doivent-elles fournir une assistance gratuite aux personnes handicapées ?

Heureusement, les compagnies aériennes de l’Union européenne sont tenues par la loi de fournir une assistance gratuite aux personnes handicapées et aux personnes à mobilité réduite. Ces règles garantissent que tous les passagers ont un accès égal aux services de transport aérien.

Ceci est indépendant de l’aptitude au vol du passager en vigueur à ce moment-là. Les compagnies aériennes doivent donc s’adapter à toute personne qui souhaite faire appel à leurs services.

Mais quelles aides sont concrètement proposées ? Dans les paragraphes suivants, nous expliquons en détail les services disponibles à l’aéroport, comment voyager avec du matériel médical et des aides telles que des fauteuils roulants et comment utiliser correctement les médicaments à bord.

Quelle est l’aide disponible pour les personnes handicapées à l’aéroport ?

Dans de nombreux aéroports, de nombreuses aides et services sont proposés aux personnes handicapées avant leur voyage, afin de rendre leur voyage aussi agréable et accessible que possible. Il est néanmoins conseillé, en particulier pour les personnes qui prennent l’avion pour la première fois, de se renseigner au préalable sur les services disponibles :

  1. Aide à la mobilité : des fauteuils roulants et des services d’accompagnement sont mis à disposition par les compagnies aériennes pour faciliter les déplacements des clients à mobilité réduite dans le terminal. Il vaut la peine de réserver ce service à l’avance pour que tout se déroule sans problème.
  • Enregistrement préalable : pour éviter les longues files d’attente, les passagers handicapés peuvent souvent s’enregistrer à l’avance. Cela permet également de clarifier à l’avance les souhaits particuliers en matière de sièges ou les exigences médicales.
  • Installations accessibles : Conformément à la législation, les aéroports proposent des installations telles que des ascenseurs, des toilettes adaptées et des rampes d’accès permettant d’accéder facilement aux zones principales.
  • Contrôles de sécurité spéciaux : De nombreux aéroports prévoient des procédures spéciales adaptées aux besoins des personnes handicapées afin de leur garantir dignité et confort pendant les contrôles. Il est recommandé de demander cette assistance à l’avance.
  • Assistance à l’embarquement : les compagnies aériennes fournissent souvent une assistance spéciale lors de l’embarquement, qui peut inclure l’utilisation de fauteuils roulants, d’élévateurs ou de moyens de transport spéciaux.
  • Aides à la communication : De nombreux aéroports proposent aux passagers souffrant de troubles de l’audition ou de la parole des aides telles que des interprètes en langue des signes ou des supports de communication écrits.
  • Service d’accompagnement : certains aéroports proposent un service d’accompagnement qui facilite l’enregistrement, le contrôle de sécurité et d’autres processus à l’aéroport. C’est parfait pour les clients qui ont du mal à s’orienter ou qui sont physiquement limités. Le service d’accompagnement peut, entre autres, entraîner des frais supplémentaires.

La qualité et l’étendue de ces services peuvent varier d’un aéroport à l’autre, c’est pourquoi il est toujours recommandé de faire une demande à temps pour que tout soit réglé à votre satisfaction.

Transport gratuit de matériel médical, de médicaments et d’appareils

Voyage aérien-avec-maladie-et-handicap-médical-assistance

Les passagers souffrant d’un handicap ou d’un problème de santé peuvent emporter gratuitement les équipements médicaux et les médicaments dont ils ont besoin pendant leurs vacances. Il est généralement permis d’emporter ces objets et médicaments à bord, à condition de respecter les réglementations en vigueur.

Il se peut que vous deviez présenter un certificat médical confirmant la nécessité de ces objets. Cela concerne entre autres les fauteuils roulants, les déambulateurs et les appareils médicaux tels que les concentrateurs d’oxygène.

Dans ce contexte, il est important d’étiqueter les articles de manière visible et de les emballer de manière sûre afin d’éviter tout dommage pendant le vol. Les médicaments doivent être placés dans leur emballage d’origine et une copie de l’ordonnance ou un certificat médical facilite la clarification des questions éventuelles par le personnel de sécurité.

Les médicaments liquides sont soumis aux restrictions générales concernant les liquides dans les bagages à main. Cela signifie que chaque récipient peut contenir au maximum 100 ml et doit être rangé dans un sac transparent d’un litre.

Dans les pays où l’importation de certaines substances actives est strictement réglementée, il convient de se renseigner à l’avance sur les règles en vigueur et, le cas échéant, de se munir d’un certificat médical.

Stationnement gratuit avec la carte européenne de stationnement

Carte de stationnement européenne pour personnes handicapées

La carte européenne de stationnement offre un grand avantage aux voyageurs handicapés qui arrivent en voiture. Cette carte leur permet de se garer directement à l’aéroport sur des emplacements spécialement réservés.

Reconnue par la plupart des pays européens, elle permet à ses détenteurs de se garer dans des parkings spécialement identifiés et stratégiquement situés à proximité de bâtiments et d’installations importants, afin de garantir un accès plus facile.

Pour bénéficier de la gratuité du stationnement avec la carte européenne de stationnement, celle-ci doit être placée bien en vue dans le véhicule. Cela permet aux opérateurs de parking et aux contrôleurs de la circulation d’identifier rapidement les droits de l’usager.

Certains pays peuvent ne pas accepter la carte européenne de stationnement ou avoir des règles spécifiques concernant le stationnement des personnes handicapées.

Personnes souffrant d’un handicap visuel : voler avec un chien d’assistance ou d’aveugle

Chiens d'aveugles-pour-les-passagers-durant-un-vol

Pour les personnes malvoyantes qui possèdent un chien d’assistance ou un chien guide, il existe des directives et des règles particulières à respecter en avion. Les chiens d’assistance sont des chiens spécialement dressés pour assister les personnes handicapées et les aider à mieux se débrouiller au quotidien.

Avant de prendre l’avion avec un chien d’assistance ou un chien guide, il est important d’informer à l’avance la compagnie aérienne que vous allez emmener un tel chien. Là encore, les compagnies aériennes ont des directives et des dispositions spécifiques qui régissent le transport des chiens d’assistance ou des chiens guides.

Dans certains cas, il peut y avoir des documents ou des informations spécifiques que vous devez fournir pour confirmer que votre chien est un chien d’assistance ou un chien guide formé. Il peut s’agir d’un certificat ou d’une lettre d’une organisation reconnue confirmant que le chien a reçu une formation adéquate.

Comptoirs d’enregistrement accessibles (pour l’enregistrement avant le début du vol)

Guichet d'enregistrement

De nombreuses compagnies aériennes proposent des comptoirs d’enregistrement accessibles spéciaux afin de rendre le processus d’enregistrement aussi accessible que possible aux voyageurs souffrant d’une maladie ou d’un handicap. Ces comptoirs sont conçus pour répondre aux besoins des voyageurs à mobilité réduite.

Aux comptoirs d’enregistrement accessibles, il y a généralement :

  • Un espace suffisant pour les fauteuils roulants, les déambulateurs ou autres dispositifs d’assistance, afin de garantir que chacun puisse se déplacer librement.
  • Des tables plus basses qui permettent une communication à hauteur des yeux et créent ainsi une expérience d’enregistrement agréable.
  • Un personnel formé qui non seulement accueille avec le sourire, mais qui peut également répondre de manière ciblée aux besoins spécifiques de ces voyageurs.
  • Une aide supplémentaire dans le traitement des documents de santé pour les voyageurs souffrant d’une maladie, afin de garantir un déroulement sans heurts et de réduire les éventuelles inquiétudes.

Prendre l’avion avec des implants, des stimulateurs cardiaques et des prothèses

Voici quelques points importants que les voyageurs porteurs d’implants, de stimulateurs cardiaques ou de prothèses doivent prendre en compte pour que leur voyage en avion soit sûr et confortable.

Préparation avant le vol :

  • Certificat médical : Il est conseillé de se procurer un certificat médical attestant des appareils médicaux et de leur nécessité.
  • Information à la compagnie aérienne : les voyageurs doivent informer la compagnie aérienne de leurs besoins spécifiques en temps utile. Cela devrait se faire au moins 48 heures avant le départ.
  • Contrôles de sécurité : Il est important d’informer les agents de sécurité lors de l’enregistrement à l’aéroport que l’on porte un implant ou un dispositif dans le corps. Les implants métalliques peuvent déclencher des indications métalliques suspectes.

À l’aéroport et pendant le vol :

  • Contrôle de sécurité : les voyageurs doivent se préparer à des contrôles supplémentaires, car les stimulateurs cardiaques et certaines prothèses peuvent déclencher des détecteurs de métaux.
  • Carte d’embarquement et documentation : il est utile d’avoir la carte d’embarquement et le certificat médical à portée de main.

Prendre l’avion avec des implants, des stimulateurs cardiaques et des prothèses

Voici quelques points importants que les voyageurs porteurs d’implants, de stimulateurs cardiaques ou de prothèses doivent prendre en compte pour que leur voyage en avion soit sûr et confortable.

Préparation avant le vol :

  • Certificat médical : Il est conseillé de se procurer un certificat médical attestant des appareils médicaux et de leur nécessité.
  • Information à la compagnie aérienne : les voyageurs doivent informer la compagnie aérienne de leurs besoins spécifiques en temps utile. Cela devrait se faire au moins 48 heures avant le départ.
  • Contrôles de sécurité : Il est important d’informer les agents de sécurité lors de l’enregistrement à l’aéroport que l’on porte un implant ou un dispositif dans le corps. Les implants métalliques peuvent déclencher des indications métalliques suspectes.

À l’aéroport et pendant le vol :

  • Contrôle de sécurité : les voyageurs doivent se préparer à des contrôles supplémentaires, car les stimulateurs cardiaques et certaines prothèses peuvent déclencher des détecteurs de métaux.
  • Carte d’embarquement et documentation : il est utile d’avoir la carte d’embarquement et le certificat médical à portée de main.

Prendre l’avion avec un fauteuil roulant ou un autre équipement de mobilité

Aide au fauteuil roulant et transport à l'aéroport

Pour les voyageurs en fauteuil roulant ou avec d’autres aides à la mobilité, une bonne préparation est essentielle pour éviter les complications. Voici quelques points importants :

Inscription auprès de la compagnie aérienne

  • Informez la compagnie aérienne de votre besoin d’aide (fauteuil roulant, appareil à oxygène, etc.) au moins 48 heures avant le départ.
  • Demandez des services spéciaux et de l’aide à l’aéroport et à bord.

Certificats médicaux

  • Obtenez un certificat médical d’aptitude au vol (MEDIF) et emportez-le avec vous.
  • Des justificatifs supplémentaires peuvent être nécessaires pour les appareils à oxygène.

Fauteuils roulants et batteries

  • Les fauteuils roulants manuels peuvent généralement être pliés et enregistrés comme bagages.
  • Renseignez-vous sur les dispositions relatives aux batteries des fauteuils roulants électriques, car elles doivent souvent être traitées séparément.
  • Retirez les pièces et accessoires détachés et emportez-les à bord.

Prudence avec les fauteuils roulants équipés de batteries

Si vous souhaitez voyager en avion avec un fauteuil roulant électrique, il est important de connaître les règles de sécurité et les exigences spécifiques en matière de batterie de la compagnie aérienne. Contactez-la au préalable pour connaître les dispositions relatives au transport des fauteuils roulants électriques. Il se peut que vous deviez déconnecter la batterie et l’emballer séparément. La compagnie aérienne vous indiquera également si le fauteuil roulant peut monter à bord ou s’il doit être placé en soute.

Contrôles de sécurité

  • Les personnes en fauteuil roulant sont généralement palpées manuellement et contrôlées à l’aide de scanners manuels.
  • Le fauteuil roulant est également inspecté, ce qui peut prendre un certain temps.

À bord

  • Souvent, les personnes en fauteuil roulant peuvent embarquer en premier et débarquer en dernier.
  • Des fauteuils roulants de bord sont éventuellement disponibles pour les toilettes.
  • Renseignez-vous sur les places attribuées aux personnes à mobilité réduite.

Une planification précoce et précise en concertation avec la compagnie aérienne est la clé d’un vol sans problème avec un fauteuil roulant ou des aides à la mobilité.

Voler avec d’autres handicaps

Pour les personnes handicapées, le droit à un voyage sans obstacles est ancré dans la loi. Une communication ouverte avec la compagnie aérienne ainsi qu’une planification minutieuse peuvent contribuer de manière décisive à ce que le voyage se déroule le plus agréablement possible.

Le jour du voyage, il est recommandé d’arriver tôt à l’aéroport. Cela laisse suffisamment de temps pour l’enregistrement et les contrôles de sécurité. De nombreux aéroports proposent des services d’assistance spéciaux pour les passagers souffrant de handicaps physiques.

Prendre l’avion pendant la grossesse

Prendre l’avion pendant la grossesse représente une charge particulière pour le corps et nécessite une planification minutieuse ainsi que des mesures de précaution. Les aspects suivants sont d’une importance capitale à cet égard :

Consultationmédicale : avant de prendre l’avion, il faut toujours consulter son médecin afin de déterminer les risques individuels. Chaque grossesse étant unique, il est essentiel d’obtenir un avis médical adapté à la situation personnelle.

Timing : bien que de nombreuses compagnies aériennes autorisent les voyages en avion jusque tard dans la grossesse, il est généralement recommandé de renoncer aux voyages en avion à partir de la 36e semaine. Le risque d’accouchement prématuré et d’autres complications augmente au cours des dernières semaines de la grossesse.

Choix du siège : Il est conseillé de choisir un siège qui offre suffisamment d’espace et qui soit confortable. Les sièges près de l’allée permettent de se lever et de se déplacer plus facilement pendant le vol, ce qui favorise la circulation sanguine et peut réduire les risques de thrombose.

Refus d’embarquement en cas de grossesse ?

Le refus d’embarquement pour les femmes enceintes est une question qui doit être prise en compte à la fois par les compagnies aériennes et par les femmes concernées. Les compagnies aériennes ont des politiques de sécurité qui peuvent inclure des restrictions pour les femmes enceintes, en particulier en cas de grossesse avancée ou de complications médicales.

Les raisons d’un refus d’embarquement peuvent être l’absence d’un certificat médical ou des conditions médicales spécifiques. Les femmes enceintes qui se maintiennent en forme pour le vol peuvent considérer cela comme une violation de leurs droits. Flightright aide les passagers, y compris les femmes enceintes, en cas de refus d’embarquement injustifié, en faisant valoir leurs droits auprès des compagnies aériennes et en cherchant à obtenir une indemnisation adéquate.

Les personnes concernées doivent contacter Flightright pour obtenir de l’aide et faire valoir leurs droits.

Prendre l’avion après une opération

Les personnes qui prévoient de prendre l’avion après une opération ne doivent pas négliger certaines considérations importantes.

Consultation avec un médecin : il est essentiel de consulter un médecin avant de prendre l’avion. Celui-ci peut évaluer si l’avion est sûr en se basant sur l’état de santé individuel et le type d’opération effectuée. Il peut également donner des instructions spécifiques pour le vol à venir, qui doivent être prises en compte.

Cicatrisation de la plaie et risque d’infection : la cicatrisation de la plaie peut ne pas être terminée, ce qui augmente le risque d’infection, en particulier si l’on doit rester assis pendant une longue période. Il est conseillé de maintenir la plaie propre pendant le vol et de changer régulièrement de position assise afin d’éviter les points de pression.

Voler avec des fractures ou un plâtre

Pour se préparer au mieux à un vol avec des fractures ou un plâtre, il convient d’entreprendre les démarches suivantes :

Obtenir un certificat médical

Il est impératif d’obtenir un certificat médical « Fit-to-Fly » de son médecin traitant avant de prendre l’avion. Celui-ci confirme l’aptitude au vol et informe des risques potentiels.

Respecter les délais d’attente

  • Aucun vol n’est autorisé dans les 24 heures suivant une fracture.
  • Entre 24 et 48 heures, seuls les vols court-courriers de moins de 2 heures sont autorisés.
  • À partir de 48 heures après la fracture, les vols plus longs sont possibles.

Réserver des places supplémentaires

En cas de plâtrage de la cuisse, il faut réserver 1 à 2 places supplémentaires afin de pouvoir surélever la jambe.

Signer une déclaration de consentement

Certaines compagnies aériennes exigent la signature d’une déclaration de consentement concernant les risques liés au transport avec un plâtre. Cette déclaration doit être vérifiée et signée à l’avance afin d’éviter tout retard inattendu lors du voyage en avion.

Voler avec de l’oxygène

Les passagers souffrant de maladies cardiovasculaires sont confrontés à des défis particuliers lorsqu’ils prennent l’avion. La diminution de la concentration d’oxygène dans la cabine de l’avion à l’altitude de croisière peut entraîner une détérioration de leur état de santé.

Pour les patients souffrant d’insuffisance cardiaque en particulier, la baisse du niveau d’oxygène peut être critique. Il est recommandé à ces patients de demander conseil à leur médecin avant d’entreprendre un voyage en avion afin de déterminer s’ils ont besoin d’oxygène supplémentaire.

Pour des raisons de sécurité, il est interdit d’emporter de l’oxygène liquide en avion. Les concentrateurs d’oxygène ou les bouteilles de gaz contenant de l’oxygène constituent toutefois une bonne alternative.

Un contact précoce avec la compagnie aérienne permet de s’informer sur les exigences exactes en matière d’oxygène médical dans l’avion. Parfois, des documents ou des informations supplémentaires sont nécessaires de la part du médecin. Pour éviter tout problème lors de la préparation du voyage ou le jour du vol, il est conseillé d’avoir tous les documents nécessaires à portée de main.

Voler avec des maladies graves ou contagieuses

Prendre l’avion avec des maladies graves ou contagieuses comporte des risques et n’est souvent pas autorisé. Un aperçu des aspects essentiels devrait permettre d’y voir plus clair :

Maladies contagieuses : Les maladies contagieuses telles que la grippe, les troubles gastro-intestinaux ou les maladies infantiles typiques comme le rhume présentent un risque élevé de contamination des autres passagers. Pour cette raison, l’équipage peut décider de ne pas emmener les passagers concernés afin de protéger la santé de tous à bord.

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Le refus d’embarquement en cas de maladie est un dilemme pour toutes les parties concernées. Les équipages doivent protéger la santé à bord, ce qui implique parfois de refuser l’embarquement à des passagers malades. De son côté, le passager a souvent l’impression de ne pas pouvoir voyager et d’être traité injustement.

Flightright intervient en tant que médiateur pour défendre les droits de ces passagers. Notre équipe utilise ses vastes connaissances pour faire valoir les droits des passagers auprès des compagnies aériennes. En cas de refus d’embarquement injustifié, nous examinons votre cas, élaborons une stratégie d’application des droits et nous efforçons d’obtenir une indemnisation adéquate. Nos experts juridiques vous représentent avec détermination. Contactez Flightright pour faire valoir vos droits en tant que passager aérien.

Fièvre : bien que la fièvre seule ne soit pas une raison directe pour interdire un vol, elle indique souvent une maladie contagieuse. C’est pourquoi, en cas de fièvre, il est conseillé de reporter le vol jusqu’à ce que la cause soit clarifiée. De plus, la fièvre augmente le risque de thrombose pendant le vol.
Maladies respiratoires Les maladies respiratoires graves, telles que la pneumonie, peuvent poser des problèmes en raison de la pression plus faible dans la cabine et constituent un risque pour la santé. Les personnes souffrant d’otites moyennes pourraient subir de fortes douleurs dues aux changements de pression, voire risquer des déchirures du tympan et des hémorragies.
Maladies chroniques : Les personnes souffrant de maladies chroniques des voies respiratoires devraient demander un avis médical avant d’envisager un voyage en avion et faire vérifier leur aptitude à prendre l’avion.
La quintessence est la suivante : en présence de maladies contagieuses ou graves susceptibles de s’aggraver pendant le vol, il est déconseillé de voyager. La sécurité et la santé de tous les passagers et de l’équipage sont primordiales. Il est donc toujours recommandé de peser soigneusement le pour et le contre en tenant compte de son propre état de santé et en consultant un médecin avant d’entreprendre un voyage par voie aérienne.

Détournement de vol en raison d’une interdiction de vol de nuit et assistance spéciale pour les voyageurs malades ou handicapés

Il arrive parfois que des vols doivent être détournés en raison d’une interdiction de vol de nuit. Cela peut être pénible pour tous les voyageurs, mais pose des défis particuliers aux passagers malades ou handicapés. Les compagnies aériennes sont tenues de fournir une assistance spéciale dans de tels cas. Cela signifie que les passagers à mobilité réduite ou ayant des besoins particuliers en raison de leur état de santé ont la priorité en matière d’information, d’aide au transfert ou d’hébergement si le déroutement du vol nécessite un hébergement pour la nuit.

Droits des passagers en cas de déroutement – interdiction de vol de nuit

Si votre vol est dérouté en raison d’une interdiction de vol de nuit, vous avez certains droits en tant que passager. Ceux-ci peuvent dépendre de la compagnie aérienne et de la situation spécifique, mais la règle générale est la suivante :

  • Information: la compagnie aérienne doit vous informer des raisons du déroutement et de vos droits.
  • Assistance: vous avez droit à des services d’assistance tels que des repas, des rafraîchissements et, le cas échéant, un hébergement à l’hôtel.

Une assistance spéciale pour les passagers malades ou handicapés doit être garantie par la compagnie aérienne, ce qui peut inclure une assistance à la nouvelle destination ou des solutions de transfert spécialement adaptées.

Ai-je droit à une indemnisation dans ce cas ?

Quel est le montant de l’indemnisation que je peux obtenir en cas de retard dû à une interdiction de vol de nuit ?

Le montant d’une éventuelle indemnisation en cas de retard dû à une interdiction de vol de nuit est déterminé par les droits des passagers aériens de l’UE, conformément au règlement (CE) n° 261/2004 :

  • Court trajet (moins de 1500 km): 250 euros
  • moyen-courrier (1500 à 3500 km): 400 euros
  • Longue distance (plus de 3500 km): 600 euros.

L’indemnisation dépend toutefois de divers facteurs, dont l’heure exacte d’arrivée à la destination finale et si la compagnie aérienne peut prouver que le retard est dû à des circonstances exceptionnelles qui n’auraient pas pu être évitées.

Pour éviter tout malentendu, les voyageurs concernés doivent toujours rester informés et, en cas de conflit, s’adresser à l’organisme national chargé de l’application des droits des passagers aériens. Pour les passagers malades ou handicapés, il est recommandé de prendre toutes les dispositions nécessaires dès la réservation et de bien planifier le départ et l’arrivée afin de garantir une assistance adaptée à leurs besoins spécifiques.

Conformément au règlement européen sur les droits des passagers aériens, ils ont droit, dans certaines circonstances, à une indemnisation de la part de la compagnie aérienne en cas de retard dû à une interdiction de vol de nuit.
Vous pouvez compter sur le soutien de nos experts dans les cas suivants :
Retard de vol Indemnisation, indemnisation pour annulation de vol
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Quelles sont les maladies qui empêchent de prendre l’avion ?

Lorsqu’on prend l’avion en étant malade ou handicapé, il existe certains symptômes et conditions pour lesquels il est déconseillé, voire interdit, de prendre l’avion. Ces symptômes sont notamment les suivants :

  • Maladies infectieuses aiguës, en particulier si elles sont contagieuses comme la grippe ou les infections gastro-intestinales.
  • Une douleur ou une pression intense dans la poitrine.
  • Saignements incontrôlables ou état récemment opéré.
  • Crise cardiaque aiguë ou accident vasculaire cérébral au cours des deux dernières semaines.
  • Infections des oreilles ou des sinus pouvant provoquer de fortes douleurs dans la cabine pressurisée.
  • Psychoses aiguës ou troubles anxieux pouvant mettre en danger la sécurité du vol.

Si l’un de ces symptômes s’applique, il convient de demander un avis médical avant de prendre l’avion. Dans certains cas, un certificat médical peut être nécessaire pour prouver que l’on est apte à voler malgré les symptômes.

Il convient également de demander une autorisation médicale avant de prendre l’avion après une opération importante, une fracture ou en cas d’insuffisance cardiaque à partir du niveau III de la NYHA. En cas de problèmes cardiovasculaires aigus tels qu’un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral au cours des deux dernières semaines, il est impératif de reporter le vol. Une consultation médicale précoce est indispensable pour évaluer l’aptitude individuelle à voler et estimer les risques pour la santé.

En fin de compte, la sécurité et le bien-être de tous les passagers ont la priorité absolue. En cas de maladie aiguë ou de risques accrus, il est essentiel de se mettre d’accord avec le médecin traitant et la compagnie aérienne pour savoir si un report du voyage en avion est conseillé ou même impératif.

Voyager avec une maladie ou un handicap – conseils et astuces

Voyager peut être un défi si vous souffrez d’une maladie ou d’un handicap. Toutefois, quelques préparatifs vous permettront de minimiser les complications éventuelles et de rendre votre voyage en avion plus agréable. Il est important de se familiariser avec les services spéciaux offerts par les compagnies aériennes et de prendre toutes les précautions nécessaires.

Quelles sont les précautions à prendre avant de prendre l’avion ?

  • Consultation médicale: parlez à votre médecin traitant de vos projets de voyage. Vous aurez peut-être besoin d’un certificat médical attestant de votre aptitude à prendre l’avion.
  • Communication avec la compagnie aérienne: Informez la compagnie aérienne à temps de vos besoins spécifiques. Qu’il s’agisse d’emporter du matériel médical, de l’oxygène supplémentaire ou des exigences particulières en matière de sièges, la plupart des compagnies aériennes offrent une assistance spéciale aux passagers handicapés ou à mobilité réduite.
  • Appareils médicaux et produits thérapeutiques: vérifiez si vous avez besoin d’une autorisation spéciale ou de documents supplémentaires pour emporter des appareils médicaux à bord, tels que des accumulateurs. Vos médicaments et remèdes doivent être transportés dans votre bagage à main.
  • Enregistrement: présentez-vous à l’aéroport plusieurs heures avant le départ afin d’avoir suffisamment de temps pour prendre toutes les dispositions nécessaires.
  • Documents de voyage: Ayez à portée de main tous les documents nécessaires, tels que les certificats médicaux et les certificats de vaccination appropriés, conformément aux dispositions du pays de destination.

À quoi devez-vous faire attention pendant le vol ?

  • Confort: assurez-vous que vous êtes assis confortablement et que vous disposez de tout le soutien nécessaire, comme des oreillers ou des couvertures.
  • Faire de l’exercice: Pour prévenir la formation de caillots sanguins, levez-vous régulièrement, si possible, et faites de l’exercice ou des exercices de mobilité en position assise.
  • Hydratation: buvez suffisamment d’eau pour prévenir la déshydratation, qui est encore favorisée par l’air sec de la cabine.
  • Médicaments: Prenez vos médicaments selon votre emploi du temps et pensez aux décalages horaires qui pourraient affecter votre programme de médicaments.

À quoi devez-vous faire attention après le vol ?

  • Condition physique: surveillez de près votre état de santé après avoir pris l’avion. Certains symptômes, comme les thromboses ou le décalage horaire, peuvent apparaître avec un certain retard.
  • Transferts de correspondance: assurez-vous que des moyens de transport appropriés sont disponibles pour le reste de votre voyage après le vol et informez les prestataires de services concernés de l’assistance dont vous avez besoin.
  • Récupération: après un long vol, accordez-vous une pause pour vous remettre de la fatigue du voyage en avion, surtout si votre maladie ou votre handicap l’exige.

Une préparation adéquate et la prise en compte de ces conseils vous permettront de vivre une expérience de voyage agréable et sûre, même si vous êtes malade ou handicapé.

Comment Flightright peut-il vous aider ?

Flightright vous aide à faire valoir vos droits en cas de retard de vol. Notre objectif est de rendre le processus simple et sans stress. Nous tenons également compte des circonstances particulières, comme un éventuel refus d’embarquement en raison de la maladie ou du handicap du passager. Nos experts utilisent leurs connaissances approfondies des droits des passagers aériens de l’UE pour vous aider à obtenir une indemnisation adéquate. Consultez notre site web pour examiner rapidement votre demande et faire valoir vos droits.

Selon le règlement européen sur les droits des passagers aériens, les passagers ont droit à une indemnisation en cas de retard, d’annulation, de surréservation ou de correspondance manquée. Ils peuvent recevoir jusqu’à 600 euros d’indemnisation par personne (moins la commission de résultat). Cette indemnisation est indépendante du prix du billet. Flightright, fait valoir vos droits pour vous. Si nécessaire, même devant les tribunaux.

Conseil : Flightright vous aide à faire valoir vos droits de passager aérien ! Avec nous, vous pouvez vérifier gratuitement vos droits en deux minutes. ✔️Simple, ✔️rapide & ✔️sans risques

En tant que portail de consommateurs leader sur le marché, Flightright se bat pour faire valoir les droits des passagers aériens. Nous défendons vos droits en cas de retard de vol, d’annulation ou de refus d’embarquement et nous nous référons au règlement 261/2004 de l’Union européenne relatif aux droits des passagers aériens.

En tant qu’experts en matière de droit des passagers aériens, nous faisons valoir votre droit à l’indemnisation auprès de la compagnie aérienne !

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